Chakib Alj livre le bilan de son premier mandat à la présidence de la CGEM

En présence des membres du bureau de la CGEM, des représentants du groupe parlementaire ainsi que le vice-président de la CGEM, Mehdi Tazi, le président Chakib Alj a déclaré que, tout au long de son mandat, il a essayé de porter la voix des entreprises marocaines dans les grands événements internationaux, œuvré pour le renforcement des partenariats entre la CGEM et ses homologues, notamment européens, africains et arabes, et organisé des forums et missions économiques avec différents partenaires.

"Nous sommes très satisfaits du remboursement des 13 milliards de dirhams des arriérés de la TVA et des dispositions prises dans le cadre des trois dernières lois de Finances vers une équité fiscale, en alignement avec les recommandations des assises de la fiscalité", affirme-t-il.

"Nous travaillons depuis le mois de mars sur notre contribution à la loi de Finances 2024, avec le concours de toutes les fédérations, la commission fiscalité et douanes et le Groupe CGEM à la Chambre des conseillers", ajoute-il.

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En outre, la CGEM a également travaillé, depuis octobre 2021, avec Business Europe, patronat européen, sur la modernisation de l’accord commercial Maroc-UE, qui date de 2000, afin qu’il permette aux entreprises marocaines et européennes de saisir pleinement les opportunités que présentent les deux marchés, en termes de commerce, de sécurité alimentaire, d’énergies renouvelables et de technologies.

D’autre part, en présence de 25 patronats africains, la CGEM a tenu, en octobre 2022, un dialogue qui a abouti à une déclaration conjointe pour accélérer l’industrialisation du continent et la construction de chaînes de valeur industrielles et logistiques intégrées prenant en considération les complémentarités existantes entre les économies africaines. 

Lors de ce mandant, la CGEM a consolidé les liens avec les institutions internationales et les partenaires au développement, comme lFC, la Banque africaine de développement, les institutions de l’Union européennes, le FMI, la CCNUCC et bien d’autres, afin de travailler sur des sujets d’ordre stratégique tels que les défis climatiques, la concurrence, l’autonomisation de la femme ou encore l’entrepreneuriat des jeunes.